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KOGAN IS A PHOTOGRAPHER AND GRADUATED IN GRAPHIC AND FINE ARTS. HIS EXPRESSION FORMS PART OF THE TREND TOWARDS TRANSFORMING ABSTRACT-INFLUENCED FIGURATIVE ART,RESULTING IN THE CONTEMPORARY ART.THE ARTIST REFUTES ANY SPECIFIC INFLUENCE,WORKING BY INSTINCT,DIRECTLY ON CANVAS,RELYING ON HIS SENSIBILITIES IN TERMS OF POETICS AND HUMOUR. ALL OF HIS WORKS REPRESENT AN ENVIRONMENT IN WICH HUMAN AND SPIRITUAL DIMENSION ARE PRESENT,AND SUCH DISPLAY THE ENIGMATIC AND EVER-CHANGING SIDE OF HUMAN NATURE. HE EVINCES AN INNOVATIVE COMBINATION OF COLOURS AND METAL,IN ADDITION TO INTERPLAY OF CANVAS AND PIGMENT,HIGHLIGTHING UNEXPECTED FORMS AND TEXTURES. THE ARTIST ACKNOWLEDGES NO DEBT TO THE CLASSIS ABSTRACT ART, TOUGH HE DOES INVITE THE ONLOOKER TO IMAGINE AND APPRECIATE PRESENT-DAY ART, IN THE TRANSLATION OF A GRAPHIC SEMIOLOGY AND A SYMBOLS FOREST, MUCH AS CONVENTIONAL ART COULD BE APPRECIATED IN THE PAST IN A RHETORIC OF THE IMAGE. Norbert de ROSNY.

samedi 20 mai 2017

Stanley Greene



Stanley Greene, né le  à Brooklyn à New York1 et mort à Paris le 19 mai 20172, est un photojournaliste américain.





Stanley Greene a photographié les guerres et la pauvreté en Afrique, en ex-Union Soviétique en Amérique centrale, en Asie et au Moyen-Orient, mais son travail le plus connu est sa couverture de la guerre en Tchétchénie


Il a reçu, entre autres, le prix W. Eugene Smith et le World Press, qui lui a été décerné cinq fois. Il a publié plusieurs livres, dont Plaie à vif : Tchétchénie 1994-2003 aux éditions Trolley et Black Passport 3. Stanley Greene est membre fondateur de l'agence Noor. Il est basé à Paris et à New York.


Stanley Greene est né dans une famille de la classe moyenne. Ses deux parents étaient des acteurs. Son père était un syndicaliste et un des premiers Afro-américains élus en tant que dirigeant dans le Screen Actors Guild4, et au mouvement Renaissance de Harlem. Son père a été placé dans les années 1950 sur une liste noire des communistes et a été forcé à ne jouer que des rôles subalternes anonymes au cinéma 5. Ses parents lui ont offert son premier appareil photo à l'âge de onze ans 6.


Stanley Greene a commencé sa carrière en tant que peintre, mais il prenait également des photos comme moyen de rassembler les scènes qu'il peignait. En 1971, alors membre du mouvement révolutionnaire afro-américain Black Panthers et contre la guerre du Viêt Nam, son ami, le photographe William Eugene Smith lui a offert une place dans son studio et l'a encouragé à étudier la photographie à l'école des arts visuels de New York et l'institut d'art de San Francisco4.


À cette époque, Stanley Greene a effectué quelques travaux en tant que photographe, y compris prendre des photos de groupes de rock et travailler chez Newsday4. En 1986, il a photographié des défilés de mode à Paris. Il se considérait comme étant un amateur. Il était habitué des cafés, prenait des photos de filles et consommant de l'héroïne 6. Après le décès d'un de ses amis du SIDA, Greene a abandonné la drogue et a commencé à prendre plus au sérieux sa carrière de photographe 6.


 Il a commencé le photojournalisme en 1989, quand sa photo Baisers à tous, le mur de Berlin d'une ballerine avec dans sa main une bouteille de champagne, soit devenue un symbole de la chute du mur de Berlin 4.


Alors que Stanley Greene était photographe pour le compte de l'agence de photographes parisienne l'Agence VU, Greene a été emprisonné à la maison blanche à Moscou et a risqué sa vie lors de la tentative de coup d'état sanglant contre Boris Eltsine.


Stanley Greene a couvert des pays déchirés par la guerre comme le Haut-Karabagh, l'Irak, la Somalie, la Croatie, le Cachemire, et le Liban 4,5. il a pris des photos du génocide Rwandais en 19945 ainsi que de la côte de Golfe aux États-Unis en 2005 au lendemain de l'ouragan Katrina 4.


Dès 1994, Stanley Greene est devenu célèbre pour sa documentation de la seconde guerre en Tchétchénie et qui a été publiée en 2004 dans un livre, Open Wound (Plaie à vif)4. Ses photos ont attiré l'attention du public sur « la souffrance qui a marqué la dernière résurrection Tchétchène après des décennies de lutte pour l'indépendance » 5


En 2008, Stanley Greene a révélé avoir contracté l'hépatite C probablement au Tchad en 2007 à cause d'un rasoir contaminé.



 Après une cure, il est allé en Afghanistan où il a photographié une histoire intitulée crise de toxicomanie et des maladies infectieuses






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